Résumé :
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Les chevaux ont déserté no villes, nos mines, nos campagnes et nos champs de bataille : ils étaient 3 000 000 dans la France des années 1930, mais ils ne sont plus que 350 000 aujourd'hui. Pourtant, des champs de courses aux espaces ouverts à la promenade, des compétitions aux jeux pratiques et spectacles en tout genre, ils tiennent encore une place de choix dans nos activités, nos goûts, nos enchantements etnotre imaginaire. La formation et l'évolution des cultures équestres ont créé entre l'homme et le cheval une infinité de liens, des plus simples aux plus sophistiqués, et un riche vocabulaire souligne cette relation particulière : chevalier, écuyer, cavalcadour, chevau-léger, centaure, créat, amazone, homme de cheval, sportsman, équitomane, cavalier, jockey, driveur, meneur, piqueur, gentleman-rider,lad, palefrenier, picador, postillon, gardian, turfiste ... De la Camargue au Kentucky, de l'Angleterre à l'Italie, de la France à l'Espagne et au Mexique, de l'Europe à l'Orient,de la Renaissance aux Lumières, de la cour de Versailles auxforêts polonaises et aux arènes madrilènes, du cirque londonien à l'hippodrome parisien, il est impossible de citer toutes les époques, tous les lieux et tous les thèmes abordés dans cet ouvrage abondamment illustré : alors, "A cheval !"
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