Titre : | Diagnostic des boiteries - Anesthésies diagnostiques digitales chez le cheval : préambule (2015) |
Auteurs : | J. Schumacher ; M. Schramme |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | PRATIQUE VETERINAIRE EQUINE (vol. 47, NS, 2015-10-01) |
Article en page(s) : | p6-10 |
Note générale : | Numéro spécial |
Langues: | Français |
Mots-clés : |
Equivoc Anesthésie ; Articulation ; Boiterie ; Diagnostic ; Nerf ; Sabot |
Résumé : | Avant la réalisation de l'anesthésie diagnostique, le cheval devrait être suffisamment et constamment boiteux. Des méthodes informatisées pour détecter et quantifier les asymétries d'allure avant et après la réalisation d'une anesthésie diagnostique peuvent aboutir à une interprétation plus précise des es effets. La tonte n'est pas nécessaire dans la préparation pour les ponctions intra-articulaires et peut être contre-indiquée. La mépivacaïne est préférée à la lidocaïne car elle cause moins de réaction tissulaire. Bien qu'un sédatif ou un tranquillisant puisse être administré sans modifier significativement la démarche d'un cheval boiteux, il est prudent d'observer l'allure après l'administration d'un tel médicament et avant la réalisation de l'anesthésie diagnostique. L'administration intra-articulaire conjointe d'anesthésique local et de cortisone n'entraîne pas de risque substantiel d'arthrite septique et l'administration intra-articulaire simultanée de corticoïde avec de la mépivacaïne n'affecte pas la puissance ou la durée d'action du corticoïde. |
Cote du document numérique : | 16871 |
Classement cheval : | F09/F11 |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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104919 | §F09023 | Revue | Haras national du Pin | Pathologies | Exclu du prêt |