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| Titre : | De l'Art équestre |
| Auteurs : | Xénophon |
| Type de document : | texte imprimé |
| Editeur : | Japon : Kôseï-Sya Kôseï Kaku, 1995 |
| Format : | 173 p. ; XXX p. / Photos, dessins / 25 cm |
| Langues: | Japonais |
| Classement équitation : | 110 |
| Mots-clés : |
Mots-clés équitation Cheval de parade ; Contact léger ; Equipement militaire du cavalier ; Hippologie ; Javelot ; Rendre la main ; Travail de manègeEquivoc Achat ; Brider ; Choix Du Cheval ; Écurie ; Éducation Du Cheval ; Équitation Académique ; Équitation et sports équestres ; Extérieur Du Cheval ; Montoir ; Position En Selle ; Ramener ; Saut D'Obstacle ; Soin ; Stress ; Tempérament ; Travail En Extérieur |
| Résumé : | Tout au long de son livre, Xénophon mentionne les exigences et les emplois du cheval de guerre. La guerre apparait comme l'élément le plus voyant du livre. Les endroits d'où se dégage une impression contraire sont plus discrets mais ils sont aussi plus nombreux. On constate que les passages "militaires" s'intercalent parmi de longues pages où l'auteur vise le cheval en général, Cheval civil. A partir du chapitre X, il s'écarte progressivement du cheval d'armes, puis s'intéresse à l'équitation savante et dans le chapitre suivant, il s'occupe uniquement du cheval de parade, par opposition au cheval de guerre. L'emploi de ce dernier n'est pas son seul objet. Il veut enseigner les moyens de déjouer les fraudes des maquignons. Il apprend ses devoirs au palefrenier civil. Il expose les qualités des bonnes écuries. Les figures de manège n'ont pas un objet militaire immédiat. Surtout, la grande idée de Xénophon, qui couronne son oeuvre, semble être d'expliquer les meilleurs procédés pour obtenir des chevaux les airs d'école et donner par là, plus de beauté aux processions en l'honneur des dieux. Enfin, et c'est là, dirait-on, la préoccupation essentielle de l'auteur, qui donne son unité à un livre assez décousu, Xénophon songe moins au rôle de la cavalerie dans l'Etat qu'à la manière de bien monter, et moins au cavalier qu'au cheval. On distingue une progression subtile et constante dans cette oeuvre. Xénophon traite, pour commencer, de questions techniques dans toute leur sécheresse et ne craint pas de donner des détails très matériels, mais peu à peu il s'élève aux notions esthétiques et le ton s'élève lui aussi pour mener à l'enthousiasme d'une âme éprise de beauté : le cheval d'armes s'efface peu à peu devant le coursier fougueux et dompté qui doit embellir les fêtes religieuses. C'est ce cheval presque divin qui mène l'oeuvre à son véritable terme où s'évoque invinciblement, par l'élégance des formes et la légèreté des allures, l'admirable cavalcade de Phidias. Ce mouvement remarquable révèle la nature d'un homme de goût, d'une âme religieuse, éprise des attitudes et des contours dont la grâce plait aux dieux |
Exemplaires (1)
| Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|---|
| 0000057164 | 110-XEN | Ouvrage | Ecole nationale d'équitation Saumur | Equitation | Disponible |